Prêt hypothécaire refusé, quelle alternative ?
07/09/2020
solutions alternatives au crédit pour les interdits bancaires

Les principes du prêt hypothécaire

Le prêt hypothécaire s’adresse aux particuliers et aux professionnels avec un patrimoine important qui souhaitent monétiser leur(s) bien(s) immobilier(s).

Pour que le prêt hypothécaire soit accordé, il faut être détendeur d’un bien immobilier afin que l’organisme prêteur puisse accorder le crédit. Généralement, le prêteur s’apparente à une banque étrangère dans le prêt hypothécaire.

À lire : Le prêt hypothécaire : fonctionnement et limites

De nombreuses motivations peuvent expliquer la nécessité de faire appel à la solution du prêt hypothécaire afin de répondre à un besoin de trésorerie parmi lesquelles on retrouve :

  • Solder une dette fiscale ou familiale
  • Acquérir un autre bien immobilier
  • Régler une soulte
  • Faire des travaux
  • Financer un “coup de cœur” (voyage, voiture, œuvre d’art, bateau…)
  • Injecter des fonds propres en compte courant
  • Acheter un fonds de commerce
  • Augmenter son capital
  • Développer une activité
  • Investir à l’étranger, etc.

Cependant le prêt hypothécaire est une transaction assez risquée. C’est pourquoi il est peu accordé par les banques françaises, surtout depuis la crise des subprimes, période très compliquée pour les établissements bancaires qui jouent la sécurité depuis lors.

La vente à réméré, une alternative au prêt hypothécaire

 

Néanmoins lorsqu’une banque refuse un prêt hypothécaire il existe d’autres alternatives : notamment la vente à réméré.

Effectivement notre solution peut satisfaire les demandeurs de ce type de prêts puisque dans les deux cas la personne dégagera 60% de la valeur du bien.

Contrairement à d’autres prêts, une demande de vente à réméré peut être accordée sans limite d’âge, de même que la vente avec faculté de rachat, pouvant ainsi répondre à un très grand nombre de demandeurs.

Ensuite il faut savoir que le prêt hypothécaire reste un crédit et comme tout crédit, l’emprunteur doit avoir des revenus et être en mesure d’assumer les échéances à hauteur de sa capacité d’emprunt maximum. Tandis que pour débuter une vente à réméré aucun revenu n’est indispensable.

Une indemnité d’occupation est demandée mais celle-ci est généralement réglée dès le début du réméré grâce à l’argent obtenu suite à la revente partielle du bien. Ainsi la personne récupère ses liquidités et continue de vivre dans son bien sans se soucier de frais annexes.

Finalement, si le prêt hypothécaire se déroule essentiellement dans les grandes métropoles sur des biens de type habitation, la vente à réméré quant à elle est disponible partout en France (hors DOM-TOM) sur tout type de bien (résidence principale, locative, local commercial, terrain selon liquidités). 

De ce fait, la vente à réméré est une bonne alternative au prêt hypothécaire qui demande davantage de conditions.

À lire :  Que faire face à un refus de prêt avec hypothèque ?